La Ligue des familles
Depuis toujours, un lien étroit persiste entre les deux asbl ayant un objectif commun à atteindre: l’entraide de chaque personne, plus particulièrement des familles.
En 1974, la Ligue des familles a créé l’asbl « Centre de service social de la Ligue des Familles – Bruxelles » permettant ainsi d’offrir un service social ouvert à tous, sans condition. C’est pourquoi, Le CASG pour les familles asbl propose une permanence sociale dans le but de contribuer au bien-être des personnes.
L’histoire de la Ligue des familles: Un parcours à travers ses luttes et ses réalisations
La Ligue des familles, c’est bien sûr le Ligueur : le magazine des parents et ses déclinaisons sur le web et les réseaux sociaux. Ce sont également des combats pour que les politiques de soutien à la parentalité soient renforcées et adaptées aux nouvelles réalités des familles. Ce sont des projets d’éducation permanente pour débattre de façon critique, constructive et participer à la construction d’un monde meilleur. Au quotidien, ce sont des centaines de volontaires impliqués dans leur commune et une foule de coups de pouce concrets comme des bourses aux vêtements et jouets de seconde main, des bons plans et des petites annonces…
* Source : La ligue des Familles
Notre collaboration avec la Rosée
Le CASG pour les familles travaille depuis 20 ans en partenariat avec la maison de Quartier « La Rosée ».
Le CASG est un service de première ligne : dès lors un de nos objectifs est de maintenir un lien avec des personnes isolées ou fragilisées et de les amener, grâce à la participation aux cours de français et/ou à des projets socioculturels, à devenir plus autonomes .
Voici quelques activités proposées en partenariat avec la Rosée :
Des cours de français langue étrangère:
Niveau débutant, destinés à des femmes tous les mardi et jeudi de 9h à 12h (hors période de congés scolaires)
Des rencontres et des animations parents /enfants:
Deux mercredis après-midi par mois et durant les congés scolaires.
Des activités socioculturelles :
Visites de musées, sorties cinéma, balades dans les parcs, excursions dans le but de découvrir le patrimoine bruxellois et belge et surtout de permettre l’accès à des activités de loisirs de qualités à des personnes qui n’ont pas de moyens financiers suffisants.
Le public de la Rosée est principalement féminin, non pour éviter la mixité, mais par l’histoire même du projet. Les femmes du quartier, venant de tout horizon, ont été regroupées pour participer à des cours de français.
Dans le projet mené, cette maison de quartier est un lieu de transition entre l’absence de formation et son accessibilité.